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Le mouvement des indignés

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    MONDE - Le mouvement des indignés est il victime de manipulation ?

    Provencracie
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    Messages : 1068
    Date d'inscription : 12/06/2011

    MONDE - Le mouvement des indignés est il victime de manipulation ? Empty MONDE - Le mouvement des indignés est il victime de manipulation ?

    Message  Provencracie Dim 6 Nov - 10:11

    Une publication vue : un coup monté ?

    Balle dans le pied ? On ne censure pas, toutes les sources autour du sujet ecrits par des medias alternatifs ou traditionnels sont postées ici lorsqu'on les voit.
    On est des citoyens, on ne marche pas pour un parti, un groupuscule ou autre..
    Partage sur ce forum des infos, idées et sources afin d'imaginer , demander une reelle democratie, dans la transparence !
    Si vous avez des infos, merci !

    ---------------------------------------------------------------------
    MONDE
    Reuters révèle que l’occupation de Wall Street est un coup monté par Soros


    Mercredi 26 Octobre 2011

    MONDE - Le mouvement des indignés est il victime de manipulation ? 3385210-4864641

    Georges Soros, 81 ans, septième fortune des Etats Unis évaluée à
    22 milliards de dollars, est derrière le mouvement « spontané » pas du
    tout spontané – des insurgés de Wall Street. Il nie avoir tout
    rapport, mais les journalistes de Reuters, après enquête, ont trouvé la
    main du machiavélique homme d’affaire derrière le mouvement.

    Une organisation anti-capitaliste Canadienne, Adbusters, avait
    préparé un vrai lancement publicitaire du mouvement, une campagne
    marketing extrêmement sophistiquée, avec pour objectif de décalquer le
    printemps arabe à New York.
    Adbusters est financé par Soros par l’intermédiaire de sociétés écrans, destinées à brouiller les
    cartes et empêcher de remonter jusqu’à lui.
    Entre 2007 et 2009, Soros a versé 3.5 millions de dollars au Centre Tides, une
    organisation basée à St Francisco, et qui sert de plaque tournante pour
    distribuer les fonds. Parmi les destinataires, on trouve la Fondation
    Ford, et… Adbusters, qui a reçu 185.000 dollars entre 2001 et 2010, et
    dont la raison d’être est la destruction du capitalisme, l’arrêt de la
    consommation, dans la logique communiste.
    L’un des fondateurs d’Adbusters, Kalle Lasn, 69 ans, a déclaré à Reuters que l’idée de l’opération contre Wall Street lui est venue avec le Printemps Arabe, et qu’il travaille dessus depuis le 13 juillet. Belle
    spontanéité, pour un mouvement qui a été lancé le 17 septembre : nos
    journalistes auraient besoin de cours de recyclage, eux qui continuent à
    soutenir que le mouvement est sorti « tout seul » du mécontentement des
    consommateurs.
    L’hypocrite agitateur (c’est avec
    l’argent des riches qu’il invente des slogans qui dénoncent les riches
    qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne
    publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a
    également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ».
    Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années
    2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre
    l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall Street.
    Une découverte de Reuters sans surprise


    Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les
    journalistes de l’AFP ne lisent pas l’anglais et ils ne connaissent pas
    Reuters.
    Le résultat est que les médias mentent sur le
    mouvement d’occupation de Wall Street, et mentent lorsqu’ils écrivent
    qu’il s’agit d’un mouvement sans leader.
    Le scénario du financement de l’opération Wall Street en rappelle un autre, celui du
    puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là,
    nous le verrons plus loin.
    J-Street


    J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des
    riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est
    dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions
    farouchement anti-sionistes, et étrangement très en phase avec les
    demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il
    s’est avéré que J-Street, dont le batard français s’appelait J-Call, et
    qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du
    milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.
    De Wall Street à Tel Aviv…


    En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour
    protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec
    installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs
    villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire,
    totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information
    reprise telle quelle par les médias européens.
    Sauf qu’en
    regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près,
    quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du
    mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une
    activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout
    aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l’Organisation Non
    Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ».
    Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée.


    Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations
    israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de
    dollars par an.
    Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010,
    sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de
    l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en
    coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le
    vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des
    fonds qui les alimentent »
    . Elle ajouta que selon elle «
    dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de
    l’Etat Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le
    pays sera devenu beaucoup plus démocratique ».


    Les enquêtes menées entre autres par l’organisation Im Tirzu ont
    révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society
    Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.
    En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation
    du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour
    l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des
    réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle
    majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu.

    Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique
    appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de
    Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle
    Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien
    conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient.
    Là encore, aucun
    média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de
    cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes
    israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche.
    Le
    NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un
    manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.

    Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de
    l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides.
    Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des
    récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open
    Society Institute.
    Comme pour Wall Street, le plan
    développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en
    une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire
    croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens
    très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées,
    voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street,
    vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.
    … Et de Tel Aviv à la place Tahrir


    Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre
    mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière «
    désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents »
    « sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la
    chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.
    Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
    © Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr http://www.Drzz.fr
    http://www.reuters.com/article/2011/10/14/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111014
    (2) http://www.washingtontimes.com/news/2010/sep/24/soros-funder-liberal-jewish-american-lobby/?page=all
    (3) http://frontpagemag.com/2011/09/22/the-soros-plot-to-topple-netanyahu/
    (4) http://www.cablegatesearch.net/search.php?q=Hedva+Radovanitz&qo=0&qc=0&qto=2010-02-28


    ------------------------------------
    SOURCES : http://www.alterinfo.net/Reuters-revele-que-l-occupation-de-Wall-Street-est-un-coup-monte-par-Soros_a65631.html


    Dernière édition par Provencracie le Jeu 10 Nov - 5:36, édité 2 fois
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    Message  Provencracie Lun 7 Nov - 8:47

    l'article en Anglais de(Reuters)

    - Anti-Wall Street protesters say the rich are getting richer while average Americans suffer, but the group that started it all may have benefited indirectly from the largesse of one of the world's richest men.

    There has been much speculation over who is financing the disparate protest, which has spread to cities across America and lasted nearly four weeks. One name that keeps coming up is investor George Soros, who in September debuted in the top 10 list of wealthiest Americans. Conservative critics contend the movement is a Trojan horse for a secret Soros agenda.

    Soros and the protesters deny any connection. But Reuters did find indirect financial links between Soros and Adbusters, an anti-capitalist group in Canada which started the protests with an inventive marketing campaign aimed at sparking an Arab Spring type uprising against Wall Street. Moreover, Soros and the protesters share some ideological ground.

    "I can understand their sentiment," Soros told reporters last week at the United Nations about the Occupy Wall Street demonstrations, which are expected to spur solidarity marches globally on Saturday.

    Pressed further for his views on the movement and the protesters, Soros refused to be drawn in. But conservative radio host Rush Limbaugh summed up the speculation when he told his listeners last week, "George Soros money is behind this."

    Soros, 81, is No. 7 on the Forbes 400 list with a fortune of $22 billion, which has ballooned in recent years as he deftly responded to financial market turmoil. He has pledged to give away all his wealth, half of it while he earns it and the rest when he dies.

    Like the protesters, Soros is no fan of the 2008 bank bailouts and subsequent government purchase of the toxic sub-prime mortgage assets they amassed in the property bubble.

    The protesters say the Wall Street bank bailouts in 2008 left banks enjoying huge profits while average Americans suffered under high unemployment and job insecurity with little help from Washington. They contend that the richest 1 percent of Americans have amassed vast fortunes while being taxed at a lower rate than most people.

    BANKING LIFE SUPPORT

    Soros in 2009 wrote in an editorial that the purchase of toxic bank assets would, "provide artificial life support for the banks at considerable expense to the taxpayer."

    He urged the Obama administration to take bolder action, either by recapitalizing or nationalizing the banks and forcing them to lend at attractive rates. His advice went unheeded.

    The Hungarian-American was an early supporter of the 2008 election campaign of Barack Obama, who will seek a second term as president in the November, 2012, election. He has long backed liberal causes - the Open Society Institute, the foreign policy think tank Council on Foreign Relations and Human Rights Watch.

    According to disclosure documents from 2007-2009, Soros' Open Society gave grants of $3.5 million to the Tides Center, a San Francisco-based group that acts almost like a clearing house for other donors, directing their contributions to liberal non-profit groups. Among others the Tides Center has partnered with are the Ford Foundation and the Gates Foundation.

    Disclosure documents also show Tides, which declined comment, gave Adbusters grants of $185,000 from 2001-2010, including nearly $26,000 between 2007-2009.

    Aides to Soros say any connection is tenuous and that Soros has never heard of Adbusters. Soros himself declined comment.

    The Vancouver-based group, which publishes a magazine and runs such campaigns as "Digital Detox Week" and "Buy Nothing Day," says it wants to "change the way corporations wield power" and its goal is "to topple existing power structures."

    SLOW START

    Adbusters, whose magazine has a circulation of 120,000 and which is known for its spoofs of popular advertisements, came up with the Occupy Wall Street idea after Arab Spring protests toppled governments in Egypt, Libya and Tunisia, said Kalle Lasn, 69, Adbusters co-founder.

    "It came out of these brainstorming sessions we have at Adbusters," Lasn told Reuters, adding they began promoting it online on July 13. "We were inspired by what happened in Tunisia and Egypt and we had this feeling that America was ripe for a Tahrir moment."

    "We felt there was a real rage building up in America, and we thought that we would like to create a spark which would give expression for this rage."

    Lasn said Adbusters is 95 percent funded by subscribers paying for the magazine. "George Soros's ideas are quite good, many of them. I wish he would give Adbusters some money, we sorely need it," he said. "He's never given us a penny."

    Other support for Occupy Wall Street has come from online funding website Kickstarter, where more than $75,000 has been pledged, deliveries of food and from cash dropped in a bucket at the park. Liberal film maker Michael Moore has also pledged to donate money.

    The protests began in earnest on September 17, triggered by an Adbusters campaign featuring a provocative poster showing a ballerina dancing atop the famous bronze bull in New York's financial district as a crowd of protesters wearing gas masks approach behind her.

    Dressed in anarchist black, the battle-ready mob is shrouded in a fog suggestive of tear gas or fires burning. Some are wearing gas masks, others wielding sticks. The poster's message seems to be a heady combination of sexuality, violence, excitement and adventure.

    Former carpenter Robert Daros, 23, saw that poster in a cafe in Fort Lauderdale, Florida. Having lost his work as a carpenter after Florida's speculative construction boom collapsed in a heap of sub-prime mortgage foreclosures, he quit his job as a bartender and traveled to New York City with just a sleeping bag and the hope of joining the protest movement.

    Daros was one of the first people to arrive on Wall Street for the so-called occupation on September 17, when protesters marched and tried to camp on Wall Street only to be driven off by police to Zuccotti Park - two acres of concrete without a blade of grass near the rising One World Trade Center.

    "When I was a carpenter, I lost my job because the financier of my project was arrested for corporate fraud," said Daros, who was wearing a red arm band to show he was helping out in the medic section of the Occupy Wall Street camp.

    Since its obscure beginnings, the campaign has drawn global media attention in places as far-flung as Iran and China. The Times of London, however, was not alone when it called the protests "Passionate but Pointless."

    Adbusters' co-founder Lasn dismisses that, reeling off specific demands: a tax on the richest 1 percent, a tax on currency trades and a tax on all financial transactions.

    "Down the road, there will be crystal clear demands coming out of this movement," he said. "But this first phase of the movement is messy and leaderless and demandless."

    "I think it was perfect the way it happened." (Additional reporting by Cezary Podkul in New York and Cameron French in Toronto, writing by Mark Egan, editing by Claudia Parsons.)

    sources : http://www.reuters.com/article/2011/10/14/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111014

      La date/heure actuelle est Jeu 3 Oct - 13:55