Une publication vue : un coup monté ?
Balle dans le pied ? On ne censure pas, toutes les sources autour du sujet ecrits par des medias alternatifs ou traditionnels sont postées ici lorsqu'on les voit.
On est des citoyens, on ne marche pas pour un parti, un groupuscule ou autre..
Partage sur ce forum des infos, idées et sources afin d'imaginer , demander une reelle democratie, dans la transparence !
Si vous avez des infos, merci !
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MONDE
Reuters révèle que l’occupation de Wall Street est un coup monté par Soros
Mercredi 26 Octobre 2011
Georges Soros, 81 ans, septième fortune des Etats Unis évaluée à
22 milliards de dollars, est derrière le mouvement « spontané » pas du
tout spontané – des insurgés de Wall Street. Il nie avoir tout
rapport, mais les journalistes de Reuters, après enquête, ont trouvé la
main du machiavélique homme d’affaire derrière le mouvement.
Une organisation anti-capitaliste Canadienne, Adbusters, avait
préparé un vrai lancement publicitaire du mouvement, une campagne
marketing extrêmement sophistiquée, avec pour objectif de décalquer le
printemps arabe à New York.
Adbusters est financé par Soros par l’intermédiaire de sociétés écrans, destinées à brouiller les
cartes et empêcher de remonter jusqu’à lui.
Entre 2007 et 2009, Soros a versé 3.5 millions de dollars au Centre Tides, une
organisation basée à St Francisco, et qui sert de plaque tournante pour
distribuer les fonds. Parmi les destinataires, on trouve la Fondation
Ford, et… Adbusters, qui a reçu 185.000 dollars entre 2001 et 2010, et
dont la raison d’être est la destruction du capitalisme, l’arrêt de la
consommation, dans la logique communiste.
L’un des fondateurs d’Adbusters, Kalle Lasn, 69 ans, a déclaré à Reuters que l’idée de l’opération contre Wall Street lui est venue avec le Printemps Arabe, et qu’il travaille dessus depuis le 13 juillet. Belle
spontanéité, pour un mouvement qui a été lancé le 17 septembre : nos
journalistes auraient besoin de cours de recyclage, eux qui continuent à
soutenir que le mouvement est sorti « tout seul » du mécontentement des
consommateurs.
L’hypocrite agitateur (c’est avec
l’argent des riches qu’il invente des slogans qui dénoncent les riches
qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne
publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a
également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ».
Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années
2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre
l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall Street.
Une découverte de Reuters sans surprise
Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les
journalistes de l’AFP ne lisent pas l’anglais et ils ne connaissent pas
Reuters.
Le résultat est que les médias mentent sur le
mouvement d’occupation de Wall Street, et mentent lorsqu’ils écrivent
qu’il s’agit d’un mouvement sans leader.
Le scénario du financement de l’opération Wall Street en rappelle un autre, celui du
puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là,
nous le verrons plus loin.
J-Street
J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des
riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est
dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions
farouchement anti-sionistes, et étrangement très en phase avec les
demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il
s’est avéré que J-Street, dont le batard français s’appelait J-Call, et
qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du
milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.
De Wall Street à Tel Aviv…
En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour
protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec
installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs
villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire,
totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information
reprise telle quelle par les médias européens.
Sauf qu’en
regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près,
quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du
mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une
activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout
aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l’Organisation Non
Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ».
Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée.
Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations
israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de
dollars par an.
Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010,
sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de
l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en
coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le
vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des
fonds qui les alimentent ». Elle ajouta que selon elle «
dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de
l’Etat Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le
pays sera devenu beaucoup plus démocratique ».
Les enquêtes menées entre autres par l’organisation Im Tirzu ont
révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society
Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.
En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation
du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour
l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des
réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle
majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu.
Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique
appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de
Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle
Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien
conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient.
Là encore, aucun
média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de
cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes
israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche.
Le
NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un
manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.
Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de
l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides.
Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des
récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open
Society Institute.
Comme pour Wall Street, le plan
développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en
une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire
croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens
très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées,
voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street,
vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.
… Et de Tel Aviv à la place Tahrir
Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre
mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière «
désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents »
« sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la
chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr http://www.Drzz.fr
http://www.reuters.com/article/2011/10/14/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111014
(2) http://www.washingtontimes.com/news/2010/sep/24/soros-funder-liberal-jewish-american-lobby/?page=all
(3) http://frontpagemag.com/2011/09/22/the-soros-plot-to-topple-netanyahu/
(4) http://www.cablegatesearch.net/search.php?q=Hedva+Radovanitz&qo=0&qc=0&qto=2010-02-28
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SOURCES : http://www.alterinfo.net/Reuters-revele-que-l-occupation-de-Wall-Street-est-un-coup-monte-par-Soros_a65631.html
Balle dans le pied ? On ne censure pas, toutes les sources autour du sujet ecrits par des medias alternatifs ou traditionnels sont postées ici lorsqu'on les voit.
On est des citoyens, on ne marche pas pour un parti, un groupuscule ou autre..
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Si vous avez des infos, merci !
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MONDE
Reuters révèle que l’occupation de Wall Street est un coup monté par Soros
Mercredi 26 Octobre 2011
Georges Soros, 81 ans, septième fortune des Etats Unis évaluée à
22 milliards de dollars, est derrière le mouvement « spontané » pas du
tout spontané – des insurgés de Wall Street. Il nie avoir tout
rapport, mais les journalistes de Reuters, après enquête, ont trouvé la
main du machiavélique homme d’affaire derrière le mouvement.
Une organisation anti-capitaliste Canadienne, Adbusters, avait
préparé un vrai lancement publicitaire du mouvement, une campagne
marketing extrêmement sophistiquée, avec pour objectif de décalquer le
printemps arabe à New York.
Adbusters est financé par Soros par l’intermédiaire de sociétés écrans, destinées à brouiller les
cartes et empêcher de remonter jusqu’à lui.
Entre 2007 et 2009, Soros a versé 3.5 millions de dollars au Centre Tides, une
organisation basée à St Francisco, et qui sert de plaque tournante pour
distribuer les fonds. Parmi les destinataires, on trouve la Fondation
Ford, et… Adbusters, qui a reçu 185.000 dollars entre 2001 et 2010, et
dont la raison d’être est la destruction du capitalisme, l’arrêt de la
consommation, dans la logique communiste.
L’un des fondateurs d’Adbusters, Kalle Lasn, 69 ans, a déclaré à Reuters que l’idée de l’opération contre Wall Street lui est venue avec le Printemps Arabe, et qu’il travaille dessus depuis le 13 juillet. Belle
spontanéité, pour un mouvement qui a été lancé le 17 septembre : nos
journalistes auraient besoin de cours de recyclage, eux qui continuent à
soutenir que le mouvement est sorti « tout seul » du mécontentement des
consommateurs.
L’hypocrite agitateur (c’est avec
l’argent des riches qu’il invente des slogans qui dénoncent les riches
qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne
publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a
également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ».
Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années
2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre
l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall Street.
Une découverte de Reuters sans surprise
Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les
journalistes de l’AFP ne lisent pas l’anglais et ils ne connaissent pas
Reuters.
Le résultat est que les médias mentent sur le
mouvement d’occupation de Wall Street, et mentent lorsqu’ils écrivent
qu’il s’agit d’un mouvement sans leader.
Le scénario du financement de l’opération Wall Street en rappelle un autre, celui du
puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là,
nous le verrons plus loin.
J-Street
J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des
riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est
dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions
farouchement anti-sionistes, et étrangement très en phase avec les
demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il
s’est avéré que J-Street, dont le batard français s’appelait J-Call, et
qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du
milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.
De Wall Street à Tel Aviv…
En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour
protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec
installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs
villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire,
totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information
reprise telle quelle par les médias européens.
Sauf qu’en
regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près,
quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du
mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une
activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout
aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l’Organisation Non
Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ».
Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée.
Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations
israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de
dollars par an.
Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010,
sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de
l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en
coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le
vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des
fonds qui les alimentent ». Elle ajouta que selon elle «
dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de
l’Etat Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le
pays sera devenu beaucoup plus démocratique ».
Les enquêtes menées entre autres par l’organisation Im Tirzu ont
révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society
Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.
En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation
du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour
l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des
réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle
majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu.
Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique
appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de
Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle
Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien
conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient.
Là encore, aucun
média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de
cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes
israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche.
Le
NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un
manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.
Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de
l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides.
Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des
récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open
Society Institute.
Comme pour Wall Street, le plan
développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en
une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire
croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens
très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées,
voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street,
vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.
… Et de Tel Aviv à la place Tahrir
Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre
mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière «
désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents »
« sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la
chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr http://www.Drzz.fr
http://www.reuters.com/article/2011/10/14/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111014
(2) http://www.washingtontimes.com/news/2010/sep/24/soros-funder-liberal-jewish-american-lobby/?page=all
(3) http://frontpagemag.com/2011/09/22/the-soros-plot-to-topple-netanyahu/
(4) http://www.cablegatesearch.net/search.php?q=Hedva+Radovanitz&qo=0&qc=0&qto=2010-02-28
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SOURCES : http://www.alterinfo.net/Reuters-revele-que-l-occupation-de-Wall-Street-est-un-coup-monte-par-Soros_a65631.html
Dernière édition par Provencracie le Jeu 10 Nov - 5:36, édité 2 fois