Que mange(ra)-t-on en 2050 ?
Neuf milliards de personnes à nourrir en 2050 et des
changements climatiques : un véritable défi pour le futur. Un organisme
international fait le point sur les choix que l’humanité devra faire
d’ici là, relate Público.
Dans les quarante prochaines années, la Terre va devoir alimenter 9 milliards de personnes. Pour Cary Fowler, directeur du Global Crop Diversity Trust
[structure de partenariat entre la FAO et des organismes privés comme
les fondations Rockefeller ou Bill Gates, qui a pour objectif le
maintien de la diversité biologique des variétés agricoles], il va
s’agir d’un grand défi. L’urbanisation ou le manque de terres agricoles
ne seront pas les sources du problème.
Les
complications viendront des changements climatiques, qui vont exiger
l’essor de nouvelles variétés d’aliments capables de résister à la
chaleur et à la sécheresse. Selon Fowler,
il faut pour cela adapter les cultures agricoles actuelles. Soit on ne
change rien ; dans ce cas la production chutera et les prix grimperont.
Soit on fait le choix de nourrir autrement les 9 milliards de personnes
qui habiteront la planète en 2050.
extrait et source : lire la suite
COURRIER INTERNATIONAL
9 mars 2011
http://www.courrierinternational.com/article/2011/03/09/que-mangera-t-on-en-2050
Neuf milliards de personnes à nourrir en 2050 et des
changements climatiques : un véritable défi pour le futur. Un organisme
international fait le point sur les choix que l’humanité devra faire
d’ici là, relate Público.
Dans les quarante prochaines années, la Terre va devoir alimenter 9 milliards de personnes. Pour Cary Fowler, directeur du Global Crop Diversity Trust
[structure de partenariat entre la FAO et des organismes privés comme
les fondations Rockefeller ou Bill Gates, qui a pour objectif le
maintien de la diversité biologique des variétés agricoles], il va
s’agir d’un grand défi. L’urbanisation ou le manque de terres agricoles
ne seront pas les sources du problème.
Les
complications viendront des changements climatiques, qui vont exiger
l’essor de nouvelles variétés d’aliments capables de résister à la
chaleur et à la sécheresse. Selon Fowler,
il faut pour cela adapter les cultures agricoles actuelles. Soit on ne
change rien ; dans ce cas la production chutera et les prix grimperont.
Soit on fait le choix de nourrir autrement les 9 milliards de personnes
qui habiteront la planète en 2050.
Cary Fowler - Keeping options open on agriculture from Jonathan Marks on Vimeo.
extrait et source : lire la suite
COURRIER INTERNATIONAL
9 mars 2011
http://www.courrierinternational.com/article/2011/03/09/que-mangera-t-on-en-2050