Article 104 du traité de Maastricht
La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973
Les banquiers placent des hommes au cœur des Etats et privatisent la
création monétaire. George Pompidou était banquier avant d’être
président, il travailla au sein du gouvernement français et continua
plusieurs années à travailler au service de la banque Rotschild (1954 à
1958 et de 1959 à 1962). On imagine aisément les conflits d'intérêts
résultant de ce double emploi et ayant pour point culminant la loi
Pompidou giscard qui redonne le droit aux banques privées de prêter à
l'état français. La France redevient donc à nouveau sous l’emprise
financière des banquiers.
La loi en bref : L'état français est
obligé d'emprunter aux banques privés à des taux souvent très supérieurs
à ce que la banque de France proposait. Le contribuable français paye
donc ces intérêts aux banques via les impôts, c'est ce qui pourrait
s'appeler une taxe bancaire déguisée ...
Cette loi a été passée
sous silence lors de son vote le 3 janvier 1973. La loi Pompidou-Giscard
serait aussi à l'origine de la dette des états qui n'a cesser de
croitre à partir de cette date, la corrélation est plus que troublante
...
Et bien sûr, cette loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973 a
son équivalent dans la constitution Européenne : C'est l'article 123 du
Traité de Lisbonne ou l'article 104 du traité de Maastricht qui sont
exactement la même loi mais pour tous les états membres cette fois,
Etienne Chouard en parle dans ses dernières conférences.
Etienne CHOUARD
Titulaire d'une maîtrise en droit à Nanterre (1980), Étienne Chouard est enseignant en économie-gestion et droit fiscal, par la suite également professeur d'informatique au lycée Marcel-Pagnol à Marseille.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Chouard
La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973
WIKIPEDIA : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_n%C2%B073-7_du_3_janvier_1973_sur_la_Banque_de_France
EUROPE
Les Traités fondateurs de l’Europe : Télécharger le Traité de Maastricht (.pdf)
Source : LE POST - 31 octobre 2010 - La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973
La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973
Les banquiers placent des hommes au cœur des Etats et privatisent la
création monétaire. George Pompidou était banquier avant d’être
président, il travailla au sein du gouvernement français et continua
plusieurs années à travailler au service de la banque Rotschild (1954 à
1958 et de 1959 à 1962). On imagine aisément les conflits d'intérêts
résultant de ce double emploi et ayant pour point culminant la loi
Pompidou giscard qui redonne le droit aux banques privées de prêter à
l'état français. La France redevient donc à nouveau sous l’emprise
financière des banquiers.
La loi en bref : L'état français est
obligé d'emprunter aux banques privés à des taux souvent très supérieurs
à ce que la banque de France proposait. Le contribuable français paye
donc ces intérêts aux banques via les impôts, c'est ce qui pourrait
s'appeler une taxe bancaire déguisée ...
Cette loi a été passée
sous silence lors de son vote le 3 janvier 1973. La loi Pompidou-Giscard
serait aussi à l'origine de la dette des états qui n'a cesser de
croitre à partir de cette date, la corrélation est plus que troublante
...
Et bien sûr, cette loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973 a
son équivalent dans la constitution Européenne : C'est l'article 123 du
Traité de Lisbonne ou l'article 104 du traité de Maastricht qui sont
exactement la même loi mais pour tous les états membres cette fois,
Etienne Chouard en parle dans ses dernières conférences.
Etienne CHOUARD
Titulaire d'une maîtrise en droit à Nanterre (1980), Étienne Chouard est enseignant en économie-gestion et droit fiscal, par la suite également professeur d'informatique au lycée Marcel-Pagnol à Marseille.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Chouard
La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973
WIKIPEDIA : http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_n%C2%B073-7_du_3_janvier_1973_sur_la_Banque_de_France
EUROPE
Les Traités fondateurs de l’Europe : Télécharger le Traité de Maastricht (.pdf)
Source : LE POST - 31 octobre 2010 - La loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973