10 arguments pour contacter un journaliste
Auteur : Eric Tenin - Journaliste
"J'ai déjà eu l'occasion de dire sur ce blog
pourquoi il était important de relancer les journalistes par
téléphone après l'envoi d'un communiqué de presse si l'on voulait
optimiser ses chances de reprises (à condition de se limiter aux
annonces qui en valent la peine, évidemment). Seulement voilà, il
n'est pas toujours facile de trouver les mots pour entrer en contact
avec les rédacteurs si vous n'avez pas de solides arguments à avancer.
Ci-dessous, je vous propose une liste d’entrées en matière - non
exhaustive - qui peuvent vous aider à « mettre le pied dans la porte
». Un conseil, si vous tombez sur une boîte vocale, laissez toujours
un message (par période de 24 heures), histoire de laisser une trace ;
lorsque vous aurez votre interlocuteur en direct, il se souviendra
sûrement que vous avez cherché à le joindre à plusieurs reprises et se
sentira "obligé" de vous écouter. Mais ne soyez pas lourd pour
autant. Si vous sentez que ça n'accroche pas, n'insistez pas."
1. La flatterie
"Bonjour,
vous ne me connaissez pas, mais j'ai lu plusieurs de vos articles et
je pense que mon histoire / le nouveau produit que je m'apprête à
lancer / mon entreprise va vous intéresser..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous êtes une petite entreprise en lancement et que vous
cherchez à avoir "de la presse" dans des supports bien précis ou à
forte audience. Attention, il vous faut effectivement avoir une bonne
connaissance du média et des écrits du journaliste et que votre
produit ou service soit vraiment susceptible de l'intéresser.
Le +/Le -
+ Vous flattez l'égo du journaliste ("j'ai lu ce que vous écrivez...")
- Vous affirmez que le journaliste va être intéressé. Mieux vaut être sûr de vous sinon gros risque de plantage.
2. La "reconnection"
"Bonjour,
je ne sais pas si vous souvenez de moi, nous avions longuement
discuté de XXXX lors de la soirée des Trophées de la réussite. Je vous
contacte car j'aimerais bien vous inviter à déjeuner pour vous
présenter ma nouvelle activité."
Dans quel cas ?
Lorsque vous êtes en phase d'évangélisation de votre activité et que
vous avez besoin d'amorcer « la pompe à articles ». Attention, ne
mentez pas, il faut que vous ayez vraiment eu un précédent contact
avec le journaliste en question.
Le +/Le -
+ Vous
exploitez un lien - aussi faible soit-il (Il est toujours difficile de
répondre « non je ne me souviens pas de vous ! »)
- Vous forcez un
peu la main ; vous créez un lien qui n'existe peut-être que dans votre
tête et vous demandez un déjeuner alors que le journaliste ne sait
pas si votre activité peut l'intéresser.
3. La primeur
"Bonjour,
je vous appelle car je suis l'importateur de Zorglub 500 et je viens
de signer une exclusivité avec mon fournisseur pour l'Europe. Je vais
commercialiser à partir de septembre, la première ligne de produits
100% verts. Je vous ai appelé en premier car je sais que vous aimez
bien parler de ce type d’appareils..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous avez effectivement une ligne de produit extraordinaire et que vous savez qui cibler avec précision.
Le +/Le -
+ Vous touchez plusieurs cordes sensibles : la nouveauté, l'unicité et
le fait que vous donnez la primeur au journaliste en question (même
s'il sait pertinemment que vous allez faire le même coup dans le
support concurrent s'il vous envoie promener...)
- Il ne faut pas rater votre coup. Votre exclu doit vraiment être une exclu et sortir de l'ordinaire.
4. Le "de la part de"
"Bonjour,
je vous appelle de la part de Untel qui m'a dit que vous seriez
sûrement intéressé par mon produit/ activité/ histoire..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous avez effectivement une introduction (mais c'est assez
facile à simuler... En gros vous appelez n'importe qui dans la
rédaction ; si cette personne vous dit "non, ce n'est pas moi qui
traite ces sujets, mais Untel...", vous appelez le Untel en question
et vous vous recommandez simplement de la personne que vous venez
d'avoir). C'est limite, mais on me fait le coup tous les jours !
Le +/Le -
+ Là encore vous créez un lien, aussi faible et superficiel soit-il, c'est toujours mieux que rien.
- Vous commencez votre dialogue sur un mini mensonge, cela peut créer un réflexe de défense.
.../...
extrait et source .. lire la suite de l'article ICI
http://www.lestrucsdunjournaliste.com/2009/09/10-arguments-pour-entrer-en-contact.html#comment-form
Auteur : Eric Tenin - Journaliste
"J'ai déjà eu l'occasion de dire sur ce blog
pourquoi il était important de relancer les journalistes par
téléphone après l'envoi d'un communiqué de presse si l'on voulait
optimiser ses chances de reprises (à condition de se limiter aux
annonces qui en valent la peine, évidemment). Seulement voilà, il
n'est pas toujours facile de trouver les mots pour entrer en contact
avec les rédacteurs si vous n'avez pas de solides arguments à avancer.
Ci-dessous, je vous propose une liste d’entrées en matière - non
exhaustive - qui peuvent vous aider à « mettre le pied dans la porte
». Un conseil, si vous tombez sur une boîte vocale, laissez toujours
un message (par période de 24 heures), histoire de laisser une trace ;
lorsque vous aurez votre interlocuteur en direct, il se souviendra
sûrement que vous avez cherché à le joindre à plusieurs reprises et se
sentira "obligé" de vous écouter. Mais ne soyez pas lourd pour
autant. Si vous sentez que ça n'accroche pas, n'insistez pas."
1. La flatterie
"Bonjour,
vous ne me connaissez pas, mais j'ai lu plusieurs de vos articles et
je pense que mon histoire / le nouveau produit que je m'apprête à
lancer / mon entreprise va vous intéresser..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous êtes une petite entreprise en lancement et que vous
cherchez à avoir "de la presse" dans des supports bien précis ou à
forte audience. Attention, il vous faut effectivement avoir une bonne
connaissance du média et des écrits du journaliste et que votre
produit ou service soit vraiment susceptible de l'intéresser.
Le +/Le -
+ Vous flattez l'égo du journaliste ("j'ai lu ce que vous écrivez...")
- Vous affirmez que le journaliste va être intéressé. Mieux vaut être sûr de vous sinon gros risque de plantage.
2. La "reconnection"
"Bonjour,
je ne sais pas si vous souvenez de moi, nous avions longuement
discuté de XXXX lors de la soirée des Trophées de la réussite. Je vous
contacte car j'aimerais bien vous inviter à déjeuner pour vous
présenter ma nouvelle activité."
Dans quel cas ?
Lorsque vous êtes en phase d'évangélisation de votre activité et que
vous avez besoin d'amorcer « la pompe à articles ». Attention, ne
mentez pas, il faut que vous ayez vraiment eu un précédent contact
avec le journaliste en question.
Le +/Le -
+ Vous
exploitez un lien - aussi faible soit-il (Il est toujours difficile de
répondre « non je ne me souviens pas de vous ! »)
- Vous forcez un
peu la main ; vous créez un lien qui n'existe peut-être que dans votre
tête et vous demandez un déjeuner alors que le journaliste ne sait
pas si votre activité peut l'intéresser.
3. La primeur
"Bonjour,
je vous appelle car je suis l'importateur de Zorglub 500 et je viens
de signer une exclusivité avec mon fournisseur pour l'Europe. Je vais
commercialiser à partir de septembre, la première ligne de produits
100% verts. Je vous ai appelé en premier car je sais que vous aimez
bien parler de ce type d’appareils..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous avez effectivement une ligne de produit extraordinaire et que vous savez qui cibler avec précision.
Le +/Le -
+ Vous touchez plusieurs cordes sensibles : la nouveauté, l'unicité et
le fait que vous donnez la primeur au journaliste en question (même
s'il sait pertinemment que vous allez faire le même coup dans le
support concurrent s'il vous envoie promener...)
- Il ne faut pas rater votre coup. Votre exclu doit vraiment être une exclu et sortir de l'ordinaire.
4. Le "de la part de"
"Bonjour,
je vous appelle de la part de Untel qui m'a dit que vous seriez
sûrement intéressé par mon produit/ activité/ histoire..."
Dans quel cas ?
Lorsque vous avez effectivement une introduction (mais c'est assez
facile à simuler... En gros vous appelez n'importe qui dans la
rédaction ; si cette personne vous dit "non, ce n'est pas moi qui
traite ces sujets, mais Untel...", vous appelez le Untel en question
et vous vous recommandez simplement de la personne que vous venez
d'avoir). C'est limite, mais on me fait le coup tous les jours !
Le +/Le -
+ Là encore vous créez un lien, aussi faible et superficiel soit-il, c'est toujours mieux que rien.
- Vous commencez votre dialogue sur un mini mensonge, cela peut créer un réflexe de défense.
.../...
extrait et source .. lire la suite de l'article ICI
http://www.lestrucsdunjournaliste.com/2009/09/10-arguments-pour-entrer-en-contact.html#comment-form